La balade du jour nous mène à la Dent de Vaulion, qui d’après les guides touristiques, offre l’un des plus beaux panoramas de Suisse romande.
Nous nous garons à Montrichier. Et même si j’ai encore le sourire, je sais pertinemment ce qui m’attend : une montée du tonnerre de dieu, à brûler 3 petits-déjeuners d’un coup. Et comme je n’en ai pris qu’un…
Ça commence tout gentil pour se terminer par des marches assassines, inégales en largeur et en hauteur.
Nous traversons 3 fois la route. La 4ème fois est la bonne : la première épreuve de la journée est terminée.
J’ai droit à un peu de répit sur la route.
Nous allons franchement au nord, remontant la Combe de la Verrière.
Nous arrivons aux Toblerones. Ces reliques du passé nous font toujours sourire.
Elles ont néanmoins un certain charme et font partie de l’histoire suisse. Nous avons coutume de citer : les félons (entendez les français) et leurs chars Renault R 35 ne passeront pas.
Le Pré de l’Haut Dessus.
Son chalet.
Ce mur sépare le Pré de L’Haut Dessus du Pré de l’Haut Dessous. De quoi y perdre son latin.
Le chemin qui mène à La Biole.
Verdure.
Nous passons tout près du Sapelet Dessous, apercevons le Chalet Communal de l’Abbaye et nous dirigeons résolument vers les Chaudières de l’enfer.
Nous arrivons aux tipis.
Au loin, le Lac de Joux et le Lac Brenet.
Nous continuons toujours plus au nord…
et arrivons à La Dent. Tout un programme.
Vue sur le Lac de Joux depuis la Petite Dent (ah ah ah !).
Nous arrivons à la Dent de Vaulion. Voici les deux lacs.
Il ne nous reste plus qu’à rentrer. Nous avons parcouru déjà près de 17 km. Hum ce sera une balade à 30 km, au moins.
Il s’ensuit un long silence photo, puis nous arrivons à l’Armistice.
Nous arrivons à la voiture à 18h30 et comme soupçonné, le logger affiche 30.6 km pour un dénivelé positif de 1’774 mètres. Nous n’aurons pas de souci pour nous endormir ce soir.
Faune du jour
Pinocchio, l’escargot.
Autoportraits du jour
À La Dent de Vaulion.
