Printemps-Eté 2024

Résumés en style télégraphique mais illustrés de nos balades, brèves ou conséquentes, dans notre Jura et ailleurs.

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20 juillet 2024

Départ depuis le parking de la Grande Rolat.

Parking de la Grande Rolat - Le Chenit - Vaud - Suisse

Nous ne sommes pas venus ici depuis… une éternité. A la question « partons-nous vers le Mont Tendre ou la Sèche de Gimel« , la réponse est Sèche de Gimel. Le Mont Tendre, nous y étions la semaine passée.

Nous commençons la randonnée par rejoindre la Sèche de Gimel. L’herbe qui borde le sentier est haute et les fleurs nombreuses. L’absence d’air se fait sentir et la chaleur est bien présente. Sur le pâturage, les vaches sont affalées dans l’herbe, écrasées par la chaleur, en train de ruminer.

Nous choisissons de rester à l’ombre de la forêt. Au moment où nous arrivons à La Cerniat, le soleil se cache et Stefano peste.

Moi, j’apprécie le répit que nous procure l’ombre.

Nous restons sur la route. Nous avons en tête de pousser jusqu’au Couchant, saluer Claudy. D’autant qu’un panneau « Bienvenue chez Claudy » posé à la hauteur du gouffre du Grêlon confirme sa présence. Mais nous en sommes encore loin. Un peu plus loin, nous préférons quitter le goudron pour la piste qui monte vers le Ranch de la Pierre à Lièvre. Là encore, nous sommes dans la forêt et par moment un petit air frais vient traverser nos tee-shirts trempés.

Personne au ranch, personne non plus au chalet à Roch. Les deux chalets privés ont également les volets clos.

Depuis un moment se pose la question du lieu du casse-croûte. Du chalet proche de la vue de Genève, initialement bon candidat, s’échappe de la fumée. Faute d’endroit suffisamment bucolique, nous nous rabattons sur La Place d’Armes. L’intérieur est frais mais je m’assieds sur le seuil, au soleil, pour faire sécher mon tee-shirt.

Nous rejoignons les Bégnines par la route goudronnée, à l’ombre. Nous croisons le propriétaire du chalet privé Le Fossile, Gilbert. Il ne nous reconnait pas mais nous sommes contents de voir qu’il fréquente toujours les lieux. Il doit avoir dépasser la nonantaine !

Nous avons un instant de doute. Pousse-t-on jusqu’au Couchant ou non ? Nous regardons à l’horizon. Le chalet est encore loin. Mais l’envie de saluer Claudy prend le dessus. Nous nous engageons allègrement sur la route. La marche est confortable et la pente quasi inexistante. A quelques centaines de mètres du chalet, nous voyons une silhouette en train de tirer des clôtures. Lorsque nous sommes suffisamment près, nous le reconnaissons et vraisemblablement lui aussi car il nous fait un grand signe de main. Après les retrouvailles, l’invitation à « boire quelque chose » ne tarde pas. Autour d’une bière ou d’un café, il nous résume son année, ses problèmes de santé maintenant résolus. Deux nouvelles petites jumelles viennent agrandir la liste de ses petits-enfants. L’hiver fut doux, nous dit-il. 25°. C’est toujours mieux que les -40° de l’année passée.

Nous ne pouvons nous attarder. Il est 15h30 et nous avons encore une belle trotte devant nous pour rejoindre la voiture. Nous promettons de repasser plus longuement avant la fin de l’été.

Le retour se fait parallèlement à notre trace du matin. Nous commençons à sentir nos jambes et nos pieds, signe que nous sommes en train de dépasser la vingtaine de bornes.

Le petit refuge Pierre à Ecusson et toujours libre de  tags, tout comme celui de la Place d’Armes d’ailleurs.

Le bétail s’est éloigné du couvert de la Sèche de Gimel.

Nous rejoignons la voiture un peu avant 19h00. Ah que ça fait du bien une belle journée passée au grand air. Nous en avions presque oublié la saveur !

Itinéraire du jour

C’est ici et c’est chez Suisse Mobile.

Flore du jour
Lis Martagon - Lilium Martagon
Lis Martagon – Lilium Martagon
Lis Martagon - Lilium Martagon
Lis Martagon – Lilium Martagon
Raiponce Orbiculaire - Phyteuma Orbiculare
Raiponce Orbiculaire – Phyteuma Orbiculare
Centaurée des Montagnes - Centaurea Montana
Centaurée des Montagnes – Centaurea Montana
Oeuillet Superbe - Dianthus superbus
Oeuillet Superbe – Dianthus superbus
Autoportraits du jour

A La Place d’Armes. Stefano a un « chou fleur » dans le nez comme il dit. Depuis hier il est enrhubé et ça coule comme un fleuve en crue.

En chemin. Nous avons déjà 20 bons km dans les papattes.

14 juillet 2024

Deuxième jour de beau du weekend. Un sans faute ! Nous écourtons le café d’après petit-déjeuner pour avoir le temps d’aller jusqu’à Montricher. Quoi de mieux qu’une petite montée au Mont Tendre par cette belle journée ?

Les parkings aux alentours de la salle des fêtes du Bois des Ages sont complets. Quel succès ! Mais nous savons que, un peu plus loin, se trouve un replat où est entassé du bois. D’un côté de la route, un panneau « interdiction de stationner » ne laisse aucune place au doute. En face, par contre, rien de tel. Et nous avons gagné une cinquantaine de mètres sur l’itinéraire du jour en nous rapprochant de notre but.

Nous commençons la montée par le sentier des coulisses. Il est aussi raide que dans mes souvenirs. Nous parlons peu (je dois ménager mon souffle), mais Stefano chantonne de manière quasi ininterrompue. Il faut dire que le remix de la chanson The sound of silence, par Disturbed, nous a accompagnés durant le trajet. Lorsqu’elle s’est glissée dans la tête, il est difficile de la déloger.

Le dernier raidillon vers le chalet du Pré Anselme est à découvert, sous le soleil de plomb. Terrible ! De grandes tentes sont dressées et une cinquantaine de voitures est parquée non loin. Serait-ce pour la finale de l’Euro 2024 ? Non ? Oui ? Nous n’en saurons pas plus.

Itinéraire du jour

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13 juillet 2024

Itinéraire du jour

C’est ici et c’est chez Suisse Mobile.

23 juin 2024

Diable ! C’est la première fois de l’histoire des Two Swiss Hikers que nous cumulons en un seul billet nos randonnées du printemps et de l’été. Peau de chagrin. Notre dernier billet date de presque un mois. Durant ce dernier mois, soit la météo nous a tenus enfermés à la maison, soit ne nous a autorisé qu’un « tour de quartier » au départ de la maison, plus ou moins loin selon notre envie (c’est un peu répétitif quand même) et les probabilités de se mouiller.

Depuis le début de la semaine nos applis météo respectives nous promettent un temps sec avec un petit soleil caché derrière un nuage. Le programme de la journée a été fixé depuis longtemps : La Dôle, pour un max de dénivelé.

Nous partons des hauteurs de La Florettaz, par le sentier n° 993, dit La Barillette Bike. Nous le connaissons fort bien, ce sentier, pour l’avoir arpenté moult fois, à pied et à vélo, il y a fort longtemps. Nous marchons d’un pas vif. Le soleil est absent et la température, autour des 15°, est idéale pour l’effort. Seules quelques zones sont franchement inondées et boueuses. Nous nous attendions à plus, compte tenu des pluies qui sévissent sur la région depuis des semaines.

Quelques gouttes de pluie, éparses viennent nous rappeler que nous sommes en sursis.

Lorsque le soleil se montre, il nous écrase de sa chappe de plomb, mélange humide et chaud, où la respiration devient difficile et chaque pas plus coûteux en énergie.

L’idée du jour est de monter par le sentier sous la falaise, ce qui devrait augmenter un peu notre dénivelé. Nous l’augmentons encore plus en rejoignant le chalet de la Dôle avant de descendre au pied de la falaise.

Le bétail a investi le pâturage.

Je suis toute joyeuse de trouver des Asters des Alpes et des Paradisies, ces fleurs endémiques à La Dôle et qui ne se trouvent nulle part ailleurs dans le Jura.

La croix du Col de Porte.

Je tire mes manches (heureusement longues) pour protéger du froid mes mains durant la dernière montée. Au sommet, le soleil reste caché et quelques gouttes de pluie nous font craindre le pire.

Nous redescendons au chalet de la Dôle par Les Creux, avant de reprendre le sentier n° 5 et de rejoindre la voiture.

Itinéraire du jour

C’est ici et c’est chez Suisse Mobile.

Autoportraits du jour

26 mai 2024

Ce matin, nous avions dans l’idée de nous faire une petite Dôle. Mais rapidement les crêtes du Jura se sont assombries et l’antenne de la Barillette s’est retrouvée dans les nuages. Nous ne prendrons donc pas le risque de nous faire mouiller.

Après le pique-nique, nous partons de la maison pour un tour du golf de Gland. C’est un joli tour, que nous faisons d’un pas rapide.

Itinéraire du jour

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25 mai 2024

Encore aujourd’hui (!), le temps ne se prête guère à une rando dans le Jura. Désespérant. Nous partons néanmoins en voiture avec l’idée de rester en bas des flancs des monts. Nous laissons la voiture au-dessus de Coinsins et partons en direction du bois de Chênes. Nous longeons le ruisseau de la Combe jusqu’à la hauteur du Muids où nous piqueniquons sur une place de jeux.

Itinéraire du jour

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20 mai 2024

Nous raccompagnons notre invitée à la gare et profitons de temps sec (on ne sait pour combien de temps) pour faire un petit tour dans la campagne autour de Nyon.

Itinéraire du jour

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19 mai 2024

Aller-retour rapide de Longirod au Crêt de la Neuve. Comme je demande à éviter « la » montée impitoyable qui suit le mur, nous découvrons de nouveaux sentiers. Et puisque tous les chemins mènent au Crêt de la Neuve, nous y parvenons quand même.

Le ciel est bien noir et menaçant. Avant même de voir que la croix est occupée, je dis à Stefano que je ne veux pas m’en approcher. L’orage n’est pas loin et il y a toujours un premier coup de foudre. Récemment un coach de foot s’est fait foudroyer alors qu’il ramenait son groupe au vestiaire, pour les mettre à l’abri. L’orage était arrivé sans crier gare et le premier éclair a eu raison de lui. Triste.

Crêt de la Neuve - Longirod - Vaud - Suisse

Nous descendons par la Perroude de Marchissy. La pluie nous rattrape alors que nous approchons de l’abri communal. Nous nous y abritons et profitons pour papoter avec l’heureux propriétaire d’un van Bantam, un Hymer Grand Canyon. Repartis, la pluie nous rejoint encore et cette fois nous nous blottissons contre le mur du chalet des Prés de Joux. J’en profite pour faire une petite sieste, assise sur le pas de la porte.

Le retour à la voiture se fait sous une pluie fine. Maudit temps !

Itinéraire du jour

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Autoportraits du jour

A la Perroude de Marchissy

20 avril 2024

Après un weekend estival, le froid a fait un retour en force. Les crêtes du Jura sont toutes blanches. Dire que j’ai remis mes pneus d’été jeudi…

La météo annonce un doux mélange de soleil et de précipitation. Au sortir de la maison, un petit vent souffle un air glacé et le thermomètre de la voiture affiche le petit flocon de neige, signe d’une température inférieure à 3°.

L’idée du jour est de ne pas prendre trop d’altitude pour éviter la neige. Nous partons donc des hauteurs d’Arzier, du creux des Abériaux. Bonnet et gants sont de mise au départ de la voiture.

Notre rythme de marche est soutenu pour tenter de chauffer nos carcasses. La neige arrive très vite.

D’abord timidement…

… puis franchement, lorsque nous arrivons au parking de la Bassine.

Nous avons déjà essuyé deux averses de grésil, très vite oubliées sitôt que le soleil ressort. Sur le mont Sâla, une silhouette se détache près de la croix, sur un fond noir de nuages. Bientôt, elle disparaît, engloutie par le brouillard.

Aux Pralets, le soleil brille à nouveau. Nous nous y installons pour notre déjeuner, déplaçant un banc pour le mettre au soleil. Le répit ne dure pas et nous nous réfugions très vite sous l’avant-toit.

Nous continuons vers la Grand Enne. La couche de neige s’épaissit, alors que l’altitude ne varie guère.

Nous entrevoyons régulièrement un cycliste devant nous, poussant ou tirant son vélo.

Le Vermeilley. Deux biches au loin font une course. Nous imaginons pour le plaisir. Elles partent en sprint, faisant d’élégants sauts, sur quelques dizaines de mètres puis s’arrêtent. Elles observent les environs, en quête peut-être d’admirateurs, attendant les applaudissements. Ne voyant rien venir, elles repartent en sens inverse.

Arrivés au Haut-Mont, nous partons vers la cabane de Rochefort.

Bien avant d’y arriver, une effluve fugace de café affole nos narines. Je propose à Stefano de nous y arrêter pour un café et une part de gâteau. Il y a toujours des gâteaux faits maison dans les cabanes. Bien nous en prend. Un cake au chocolat, fait avec les restes des lapins de Pâques, trône sur le comptoir, encore entier. Nous observons l’intérieur de la cabane tandis que nous mordons à belles dents dans la tranche généreuse du gâteau, accompagnée d’un café. Les gardiens attendent un groupe. Groupe que nous croisons à quelques mètres de la cabane, en repartant. Une demi-douzaine d’ados, dont une soutenue par deux camarades. Une petite entorse, nous dit un accompagnateur, à l’accent délicieusement anglais. Les jeunes sont en basket. Ce matin, ajoute-t-il, il y avait 40 cm de neige sur les tables de la terrasse.

Les Fruitières de Nyon.

A la Chartreuse d’Oujon, l’ambiance est redevenue printanière.

Printanière d’apparence seulement, car à la voiture, il ne fait guère plus chaud que ce matin : à peine 4°.

Itinéraire du jour

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Autoportraits du jour

A la pause de midi… Après s’être abrités sous l’avant-toit pour cause d’averse de grésil. Stefano est pas content, et il le montre !

Mais sa moue n’est que comédie… Comme les enfants !

Sous le grésil, entre le Vermeilley et la Grande Enne.

14 avril 2024

Toujours à la recherche d’un maximum de dénivelé en un minimum de temps, nous décidons de monter à La Dôle depuis Bonmont. Un itinéraire classique. Encore que, entre le point de départ et l’arrivée, il y a beaucoup d’options et de variantes possibles.

Les cyclistes sont de retour. Roulant souvent à deux de front, sur des petites routes étroites, les manœuvres de dépassement nécessitent beaucoup de patience. Stefano peste. Moi, je rigole.

Nous quittons le sentier « traditionnel » pour partir vers l’ouest et rejoindre le sentier qui monte tout droit vers la combe du Faoug.

Impossible de trouver la moindre référence quant à ce chœur. Le panneau qui, l’année passée était cloué sur un autre tronc, presque entièrement dissimulé par le feuillage, a été déplacé.

Il y a de l’animation au chalet de la Combe du Faoug. D’habitude toujours désert, deux personnes s’affairent à installer une bâche sur quatre poteaux. Des tables sont dressées dehors. Une fête se prépare…

Nous restons sur la route et marchons vers La Baudichonne. Il fait chaud, très chaud et cette route semble interminable. Sur notre gauche, des bornes, marquant la frontière avec la France.

Un petit raidillon plus tard, nous sommes sur le sentier qui mène à Potraux.

De là, bientôt, La Dôle est visible.

Nous suivons le sentier qui borde la falaise via le col de Porte pour descendre au chalet puis vers la voiture.

Flore du jour
Crocus – Crocus Albiflorus
Itinéraire du jour

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Autoportraits du jour

A La Dôle.

13 avril 2024

La journée devrait être estivale. Chaude même. Nous apprendrons ce soir que le record de chaleur, depuis que les températures sont enregistrées, a été battu pour un 13 avril.

Nous laissons la voiture près du stand de tir de Longirod. Nous suivons d’abord le sentier des chevaux avant de bifurquer sur celui dit « des pastilles vertes ». Il monte tout droit dans la montagne et de ce fait n’est pas trop mon copain.

Passé le mur, la pente devient plus raisonnable. Nous passons près de La Glacière, dont l’accès semble définitivement fermé.

Et c’est non sans surprise que, arrivés au crêt de la Neuve, nous constatons que l’endroit est désert.

Nous investissons les abords de la croix car comme le dit si bien notre ami Alain V., la proximité d’une croix favorise la digestion. En l’espace d’une demi-heure, une dizaine de randonneurs rejoint les lieux. Confortablement installés sur notre perchoir à la vue imprenable sur le lac et Les Alpes, nous devinons des regards envieux.

Nous cédons la place pour partir vers La Neuve puis la fontaine Valier.

Nos pas nous mènent ensuite vers le couvert du Pré de Rolle puis vers la Roche à L’eau Pendante.

Pauvre ours !

Nous retrouvons nos traces du matin pour revenir à la voiture.

Itinéraire du jour

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Autoportraits du jour

Au Crêt de la Neuve.

Crêt de la Neuve - Longirod - Vaud - Suisse

06 avril 2024

Max de dénivelé + Minimum de temps = La Dôle. Imparable.

Nous laissons la voiture un peu plus haut que La Florettaz et suivons l’itinéraire de VTT jusqu’à la Baraque à Kuffer. Nous partons vers les Pierres Lentes pour redescendre vers Le Vuarne à peine rejoint le sentier qui monte vers La Barillette.

Le Vuarne - Gingins - Vaud - Suisse

Arrivés au mur, au départ de notre sentier « secret » qui n’a plus rien de secret, nous rencontrons deux randonneurs et un enfant. Ils nous laissent passer devant, arguant « qu’ils sont lents et qu’ils font du bruit ». Nous les perdons de vue rapidement. Quant au bruit, mes halètements couvriraient le vrombissement d’un départ de fusée. En fait j’exagère un peu car la montée, même extrêmement raide, ne me pose aucun souci.

La Pointe de Fin Château.

En écrivant ces lignes, je réalise à quel point nos balades se ressemblent et donc, aussi, forcément, nos photos et mes écrits.

La Glutte.

Il reste quelques plaques de neige à l’ombre mais elles sont anecdotiques.

Et nous voilà au sommet.

Nous descendons par Les Creux, observés par les chamois. Nous rejoignons le chalet de La Dôle, puis la route qui mène à La Barillette.

Nous revenons à la voiture par l’itinéraire de VTT, complet cette fois.

Flore du jour
Etoile Jaune Commune - Gagea Lutea | Scille à deux Feuilles - Scilla Bifolia
Etoile Jaune Commune – Gagea Lutea | Scille à deux Feuilles – Scilla Bifolia
Itinéraire du jour

C’est ici et c’est chez Suisse Mobile.

Autoportraits du jour

A La Dôle.

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À propos de Marie-Catherine

Randonneuse, blogueuse et photographe amateur chez Two Swiss Hikers.

En phase de préparation de voyage, je m'occupe du choix voire de l'achat du matos et organise les bagages. Ma principale activité consiste à me réjouir des vacances qui arrivent ! Je deviens plus active au retour : il faut trier les photos (et des photos, il y en a...) et rédiger les billets de ce blog.

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