Aujourd’hui, direction Monument Valley ! Départ de Moab à l’aube après un petit déjeuner chez un chinois local, le Szechuan Restaurant, attenant à l’hôtel où nous avons passé la nuit. Les pâtes sautées au saut du lit n’étant pas la tasse de thé du Coniglio, ce dernier prend place dans la voiture le ventre vide …
Aujourd’hui, direction Monument Valley. Durant le parcours, nous avons prévu un arrêt par un Gooseneck du fleuve San Juan.
Nous sommes sur la US 163 et roulons tranquillement lorsqu’un discret panneau Valley of the Gods attire notre attention. Stefano, lui semble encore plus attiré par la dirty road qui s’ouvre à l’horizon. Une dirty road, c’est toujours bien, ça change du train train des routes droites et toutes lisses.
Nous nous engageons donc sur cette piste. Bien nous en prit. Ce fût la surprise totale. Constatez plutôt !
Les Seven Sailors.
The BattleShip (à droite).
Pour le reste, aucun site n’est d’accord sur le nom des buttes… Alors plutôt que d’écrire des âneries, je vais les nommer in the Rabbit way…
Finger in the Sky (à droite)
The Castle.
Oh et puis, c’est juste magnifique… Pas besoin de nommer les choses…
Celle-là pas… Des petits veinards ont planté leur tente (le point bleu).
The Gooseneck de la San Juan river.
Et enfin… enfin…
Monument Valley.
Ce jour-là, l’air est particulièrement poussiéreux, donnant à ce magnifique site une impression presque cotonneuse…
Mais il n’en reste pas moins que c’est beau.
J’ai toujours le cœur un peu serré en repensant aux westerns que nous regardions avec nos yeux d’enfants. Les Indiens étaient méchants, les blancs gentils et c’était comme ça.
Là aussi, toutes ces buttes ont des noms…
Paolo, en grande méditation (1). Who knows? (2). Cette photo a l’immense privilège de trôner au salon, en triptyque (3).
The Three Sisters, en parfait contre-jour.
Paolo, en “maître du monde”, ou tout au moins “maître de Monument Valley”… Laissons lui ses illusions…
Nous continuons en direction de Kayenta où nous dormirons après un bon steak !
Autoportraits du jour
Le Coniglio et son Coyote d’amour !
